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21 juin 2010 1 21 /06 /juin /2010 00:37

Petit cercueil de petites productions, je ne les aime pas toutes mais j'espère qu'il y a, au fond, quelque chose comme qui transparaît. Ce sont de très vieilles choses, mais j'écrivais tous les jours, à l'époque. Je nourissais des obsessions, le vide, le rien, la nuit, l'aube, la guerre... qui m'a poursuivie, j'en ai écris des scénarios durant mes études par la suite... Qu'avais-je étudié pour que ça resurgisse comme ça, je ne m'en souviens plus, mais j'ai retrouvé un peu de ça quand je suis allée voir Valse avec Bachir au cinéma dans une salle parisienne. L'aurore de Murnau aussi peut-être ? Je n'aimais pas ce film pourtant, juste son nom. Ou était-ce l'aurore vue de ma fenêtre quand je passais la nuit à écrire dans ma chambre. J'sais pas.

 

En écoute impérativement : la BO de In the mood for love - Yumeji's theme

http://www.deezer.com/fr/music/bande-originale-de-film/in-the-mood-for-love-299163#music/result/all/ in the mood for love

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                                           L'aurore

 

 

L'aurore est loin
Marchons encore, un petit peu.
Le ciel va bientôt s'étendre
Bâiller, et ouvrir les yeux
L'aurore est tout près maintenant
Marchons encore, rien qu'un peu.
Nous verrons la couleur des arbres, et des champs
Bleus, et rouges bientôt
Marchons à pas feutrés, dans le noir
Le matin arrive, nous aurions gagné une journée
Une bataille, à l'arrivée,
Tout est si calme...
Tout est beau, tout est paisible
Tout est si triste...
L'aurore arriva, et le soleil la couvrit
Et les jours passèrent...


31.03.07, 22h, In the moon for love...

 

 

 

 

 

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                   Eté 2007

 

#

 

Souviens-toi des jours heureux,
parfumés et colorés
L'odeur de la chaleur, tu sais,
et la lumière du soleil... si vive
Elle brille sur le sol, et pieds nus
On marche sur l'herbe, l'impression d'être libres.

 

 

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                         Printemps 2007

 

#

 

Rien ne vient à l'esprit là
Rien ne vient du vide.
Les âmes se suicident
Les âmes tourmentées
La jeunesse,
l'affront.
Je ne veux pas de ce couteau,
et je ne veux pas de ces blessures
Mais j'aimerais tant mourir.

Le feu s'empare des âmes,
ces vieilles âmes, qui se consument toujours
plus vite que les autres.

Le sel abonde et sèche
Et tout ce qui vient à l'esprit voudrait disparaître.

 

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Dead Can Dance - Ariadne

http://www.deezer.com/fr/music/result/all/dead%20can%20dance%20-%20ariadne#music/result/all/ dead can dance - ariadne

 

a3214.jpg

                                  Into the labyrinth, 1993

 

 

#

 

 

Je n'étais rien hier
et je suis peut-être,
aujourd'hui
Un millier de vies ?


Septembre, 19, 09, 06, bientôt l'hiver.
Je vous écris de la chambre
Où le clair-obscur joue de la lumière et des ombres
Il y a un je ne sais quoi de tranquillité...
Un je ne sais quoi...
Il n'y a pas un bruit.
Juste le chant,
le chant des sirènes.

Alors, j'oublie de me souvenir
Des flashs me parcourent...
Et ma mémoire s'étend
Longue, longue, à l'infini
Dans le passé et le futur
Les cordes résonnent.

Ainsi soit-il.


Je suis à 600 km de toi
d'une diagonale longue
d'une demie éternité ?

Et je me sens bien.
Vachement bien.
Ainsi soit-il
Ainsi changera t-il.

 


automne 2006

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Allez... un dernier pour aujourd'hui, mon premier texte sans faute d'orthographe, j'avais 14ans, j'étais un peu homosexuelle sur les bords il faut le dire, et j'avais écrit ça pour ma vieille amie Sam, qui vient me rendre justement visite alors que l'on ne s'est pas vu depuis.. quasiment deux ans! C'est un texte "mignon", qui me fait plus plaisir pour son évocation que pour son originalité, comme beaucoup d'autres d'ailleurs (c'est désespérant, je vais me suicider :s)

 

 

 

L’autre jour




Je ne veux pas savoir si…
Si tes seins sont inégaux
Si tes lèvres sont trop fines
Si tes mains trop fragiles
Si tes yeux sont beaux

Parce que l’autre jour sur mon chemin
J’ai croisé les femmes et la femme
Etait le symbole de l’univers

Je ne veux pas savoir si…
Tu as peur, j’ai peur moi aussi
Si tout ça était juste une illumination
Une illusion de beauté naturelle
Dans le parc des horreurs
Il y avait un joyau de diamant perché sur le ciel
Qui brillait, comme
Quelque chose qui n’existe pas
Qu’on ne voit qu’en peinture

Parce que les peintres sont devins
Parce que les peintres ont l’espoir

Et moi j’ai vu l’autre jour la fille et la femme
Et maintenant je suis aveugle.

 

 

 

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19 juin 2010 6 19 /06 /juin /2010 03:42

#

Tchaikovsky - arabian dance, par Von Karajan 

 

Je vous conseille vraiment d'écouter, le morceau est très court, l'enregistrement un peu vieillot.

A se pendre.

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A l'aube de la floraison des jeunes filles en fleur
tout se défait lentement...
Comme si le printemps s'est rendu à l'évidence
cartes au tapis,
que finalement rien ne sert de se déployer
Le temps est si court et le soleil ne réchauffe
plus grand chose...
A quoi bon se débattre pour sortir voir le ciel,
quand le ciel n'est plus là
Je suis désespéré,
et je crois que tout le monde s'en fiche.
C'est ainsi que personne n'a vu le printemps cette année,
tout était déjà parti
en friche. 

 

 

Tout meurt ici. Il n'y a pas de place pour la vie, pas de vie pour l'amour, pas d'entracts pour la comédie humaine, il n'y a plus rien alors cessez d'espérer. Arrêtez d'espérer pour demain. 

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16 juin 2010 3 16 /06 /juin /2010 01:48

 

JE TRAVAILLE. JE REFLECHIS. J'ECRIS UN PEU VOIRE BEAUCOUP. JE LIS. ET JE FINIS PAR REFLECHIR.

DONC EN CLAIR JE T'EMMERDE.

 

Continue de dormir et je te fais ton café à 3H30 si je suis encore debout.

 

 

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13 juin 2010 7 13 /06 /juin /2010 00:36

Your skin makes me cry
You float like a feather
In a beautiful world
I wish I was special

 

A la télé, on expose une théorie du big-bang entouré de bouffons qui s'en foutent royalement, deux yorkshires aboient en imitant le berger allemand et le ver ne cesse de remuer. Spectacle assez affligeant, alors que j'aime bien regarder la télé pourtant.

Par conséquent, j'allume le PC, recherche des blogs intéressants (pas trouvé), écoute de la musique. Quand j'étais au collège, j'avais écris I wish I was special sur ma trousse.

Le big bang c'est quoi ? Chacun a son big-bang. Le mien, c'était que je voulais être special.

 

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//OUT// Je recherche désespérement quelque chose à lire en ce moment qui me divertisserait. J'ai fini un stock de romans et il ne me reste que des essais, pas très bandant... Je me suis rabattue sur un Bukowski, et franchement, passer de Kundera à Hank, ça fait mal. Ok, c'était pas le meilleur de Kundera (La valse aux adieux), mais cela ne pourra de toute façon jamais atténuer la médiocrité de l'américain. Quand j'étais plus jeune, Bukowski c'était un peu comme une légende de l'écriture moderne. Passer ce cap, il n'y a plus grand chose qui reste. Si vous pensez que Bukowski a inventé quelque chose dans la littérature, alors je pense que vous vous trompez. Lisez Women par exemple. Women, c'est un peu comme être dans la peau d'une anguille qui trépasse. On vous assème de coups pendant long, long... longtemps, ça vous travaille au corps, ça vous épuise, vous finissez par abandonner et vous vous laissez mourir. Enfin, non, vous fermez le livre avant les quelques pages restantes en restant muet. Quel est le plus terrible : le temps perdu de la lecture ou la déception envers l'auteur ?

Pourquoi je trouve Women mauvais ? La pauvreté des histoires ; le manque total d'analyse, de réflexions, description minimaliste, répétition d'une même histoire glauque (alcool - sexe - je perds mon boulot - je rencontre une femme - on baise - je déménage - alcool - sexe - je perds mon boulot ...), écriture rudimentaire qui n'apporte rien au contenu, beaucoup de dialogues qui n'apportent rien non plus (aucun dynamisme), bref...

 

Peut-être un jour y trouverai-je un intérêt. Je m'obstine cependant à continuer avec Les nouveaux contes de la folie ordinaire, les deux premières nouvelles parlaient de nécrophilie et de viol/meurtre.

Si quelqu'un dans l'assistance a percé le mystère, je veux bien qu'on me l'explique. Je ne dis pas que le glauque, la loose attitude, la violence, la culture underground, etc, ne sont pas des sujets. Le problème, c'est que la forme comme le fond ne sont pas exploités, on dirait une sorte de documentaire froid et détaché et je doute que l'on puisse y trouver de vraies qualités littéraires.

 

 

 

 

                  

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12 juin 2010 6 12 /06 /juin /2010 04:03

 

 

Avec quelques heures d'avance, je te souhaite un joyeux anniversaire mon amour.

 

Je sais que tu me lis, et tu es d'ailleurs peut-être mon seul lecteur.

 

Je sais que les anniversaires te donnent de l'urticaire, mais je vais te faire ta fête quand même.

 

Dans l'espoir qu'un jour tu comprennes qu'on ne perd pas une année mais qu'on en a vécu une.

 

Je veux que tu guérisses et que tu fasses la chose pour quoi tu es fait.

 

Je veux que tu te kiffes pour ce que t'es.

 

Parce que je t'aime vraiment.

 

 

 

 

 

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12 juin 2010 6 12 /06 /juin /2010 02:59

 

 

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                              Christian Coigny, women studio

 

 

Etre un artiste en 2010, je ne sais pas si c'est possible. Il y en a peu. Cela pourrait paraître bizarre de dire cela, puisque notre ère favorise la création artistique, sa formation, sa diffusion... Et pourtant, comme il est dur de créer sans passer par le prisme d'une mode esthétique, d'une pensée unique, de cet art purement conceptuel et débile, des modèles plastiques que tout le monde copie. Quels sont les artistes qui créent réellement ? Quels sont ceux qui ont une problématique en lien avec les questions d'aujourd'hui, quels sont les apports formels ? Je n'aime pas l'art qui veut se couper de la société, et je crois qu'une oeuvre d'art fonctionne avant tout avec une époque, c'est une approche de la vie actuelle, elle doit y répondre, s'y confronter et inventer quelque chose de nouveau. L'art doit tout soulever dans une sorte d'idéal. Je ne m'épancherais pas plus parce que je crois sincèrement ne pas y connaître assez en réalité, mais c'est ce que je pense pour le moment.

Etre artiste en 2010, je ne sais pas si c'est possible pour moi. En fait, j'ignore bien plus que je ne sais. Ce que je sais, c'est ce désir, et encore, n'est-ce pas qu'une énergie à canaliser ? Comment parler de ce désir. Parfois, je semble convaincue que la vie est dans la création et que je suis fait pour cela, que c'est vers là que je dois aller, cela est de l'ordre du devoir suprême. Je crois voir quelque chose qui transcende tout, une force. C'est une sorte de délirium. Je suis incapable de savoir si cela n'est pas qu'une folie des grandeurs.

Souvent j'en viens à la conclusion qu'une vie d'art n'est pas pour moi, et qu'une vie intellectuelle, une carrière en philosophie par exemple, me suffirait amplement, dans un train-train quotidien, où je puis regarder la télé, avoir des gosses et travailler simplement, donner des cours par exemple, écrire des essais. Réfléchir sans douleur.

 

J'ai étudié la mélancolie des artistes, je sais de quoi je parle, je sais que le soi nourrit l'art, et je ne veux pas jouer avec ce soi. Je ne veux pas être. L'oreille de Van Gogh en tête est gravée. L'art me rendrait folle. C'est jouer avec le feu, je doute d'en avoir l'assurance. Et pourtant c'est tout ce qui m'attire, c'est là d'où vient ce désir, je crois.

Je crois être nourrie de peur à l'idée que ce j'ai en tête puisse un jour se concrétiser et fonctionner, et je préfère ne pas y croire, je préfère croire ne pas être à la hauteur et perdre ainsi le peu d'ambition que j'avais acquis il y a quelques temps lorsque j'avais décidé de faire de l'art le centre de ma vie. Et si je poursuis tout de même des études en arts plastiques, cela est seulement dû au fait qu'un de mes professeurs d'art m'ait assurée de continuer aux vues d'un certain "talent" et d'excellents résultats qui m'hallucinent totalement.

Asi est tu viva ! Parfois une sagesse me fait dire "calmos", j'ai dix neuf ans et je remue ciel et terre alors que, peut-être, devrais-je me concentrer sur la nourriture et laisser en construction un soi improbable et incompréhensible. Le sera t-il un jour ? 

Je crois maintenant avoir fait l'article du journal intime pour au moins huit mois et vous n'entendrez plus un seul mot, sinon quelques textes libres si je me torture encore.

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12 juin 2010 6 12 /06 /juin /2010 02:23

 

 

T'étais où toi...

Quand le ciel a éclaté.

Moi, j'avais le sang sur le visage.

Moi, j'avais le corps déchiqueté des autres.


 

Des enfants brulent dans l'air.

Une cendre noire

en l'air vole...

Une cendre épaisse, elle se répand

Comme une danse voluptueuse, comme une œuvre éphémère

Elle tournoie au dessus de moi

J'étais dans un rêve.


 

Chorégraphie de la mort,

les femmes pleurent dans le vent


 

Sous la détonation, tout était calme

Et puis soudain


 

Des femmes pleurent dans le vent


 

Mourir à Sarajevo,

en quête d'un nouvel espoir.

Le son a percé le ciel

on sent l'odeur du chaud.

J'ai touché l'humain à mes pieds

Je m'en souviendrai toujours

La peau est fragile

Nos nations sont insensibles.


 

Mourir à Sarajevo,

en quête d'un nouvel espoir

J'étais venue voir le soleil

J'étais venue pour

mourir à Sarajevo,

en quête d'un nouvel espoir.

 

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8 juin 2010 2 08 /06 /juin /2010 19:00

 

 

J'ai peur de tout ce que je peux penser,

je m'efforce d'oublier

Tous les matins je me réveille sans savoir pourquoi

et la journée continue ainsi

comme une longue insomnie.

Tout sent comme la fin,

certaines cigarettes ont un goût de mort

 

je me glisse derrière le rideau,

au delà du décor,

au dehors, où tout est froid et glaçant,

et pourtant,

une chaleur de plomb étouffe la vie.

 

La musique derrière moi

sonne comme dans une arrière salle.

C'est mon existence qui défile

hors de moi

Les histoires d'amour coulent

comme une longue valse aux adieux.

 

Je ne veux pas te perdre, mais mes mains sont moites

tu glisses doucement... sur une note tenue.

Je n'avais jamais pensé que tout cela serait si malheureux.

Vais-je pouvoir tenir le cap ?

Cap sur l'espérance, je mets les voiles.

L'avenir de nous deux, est un avenir radieux.

Je suis un tas d'ignorance...

L'amour est un embarquement impossible.

 

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7 juin 2010 1 07 /06 /juin /2010 01:13


Je viens de regarder ça, parenthèse cinématographique, le film n'est pas génial à mon goût, mais la BO très bonne cependant, ECOUTEZ PISTE 18 et vous comprendrez. http://www.deezer.com/fr/#music/various-artists/narc-255698

 

 

 

Génération Y, j’ai des idées dans ma tête.

C’est quoi ce monde de merde.

C’est ce que dirait le nouveau-né né dans le nouveau millénaire.

Oh maman, t’as disjonctée, t’as carrément

Pétée les plombs, et j’dirais même

Siphonnée tous les conduits possibles et inimaginables, wow.

C’est quoi ces guerres de monde de merde.

Le prochain israélien, c’est sûr, le prochain israélien...

Comme si souffrir n’était pas une assez grande délectation,

Certains branlent un désir de mourir de plus en plus grand.

Pour vos croyances en carton mâché,

Pour cette haine de la vie, pour ces idées canines territoriales.

Allez au diable.

Et pas besoin d’être géopoliticien.


Ouvre tes yeux, ils sont conçus pour voir

Et pas que la télé, bande d’abrutis serviles.

Regarde les pauvres, admire les riches

Et puis tout ce qu’il y a autour,

Les brins de muguet, les herbes folles

Qui longent les allées fleuries, entre les dalles

Milliers de micro vies fragiles et sensibles.

Un peu comme des petits hommes.

 

Generation Y, REGARDE, sens-toi capable,

Et tu seras heureux.

C’est toujours la même histoire.

Aime ton pote, souris aux moches, engage-toi,

Fais quelque chose merde.

Et tout ira bien.

 

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7 juin 2010 1 07 /06 /juin /2010 00:50

Il y a des moments,

il...

vous savez ce que je veux dire, enfin quoi.

Vous savez.

Vous voyez que je suis assis sur une chaise et que je médite.

Mais il n'y a rien qui vient, là...

concrètement, il n'y a rien qui vient.

J'ai plein de phrases et puis cette envie inhérente de dire quelque chose

de faire quelque chose et d'agir enfin un peu

de faire quelque chose et de vivre enfin un peu ; de sa vie.

Vous voyez, vous voyez de quoi je parle.

Vous pourriez aisément me voir oui puisque j'écris comme je parle

Comme une sorte de dialogue muet.

où je fais le film, moi-même, c'est moi qui cause et je l'imagine dans la bouche

d'un acteur américain, dans un monologue, un plan serré.

J'ai le rythme là, dans la tête, comme ça sonne

oui ça sonne, vraiment bien, puisque je suis entrain de parler, en vrai

dans ma tête, oui, ça sonne, drôlement bien.

Faire quelque chose de ma vie, comme un vers qui résonne, qui s'entête

qui se chante, à tu tête, on se mélange, ça n'en finit plus...

 

Voilà, il y a des moments où on reste sur notre faim

L'esprit gaieté, ne trouve rien à se mettre sous la dent

Le coeur est là, l'âme est agile

J'ai comme le feeling...

Le vent intérieur souffle, meule,

je m'en prends plein la gueule.

Incapable de répondre quoi que ce soit de tangible

j'écris dans le seul but

de faire quelque chose de ma vie.

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  • : Littérature, arts, musique, textes libres, réflexions, Jacob Industrie est une entreprise en construction. Ou en putréfaction.
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